• > Madame Adaline

    Le repas était délicieux, il n'y a pas a dire la bonne est une très bonne cuisinière, on ne peut pas lui enlever ça, sûrement une de ses seules qualités. En plus d'être laide, elle est con comme une valise. Tyler avait l'air d'apprécier lui aussi, temps mieux il doit prendre des forces, la nuit risque d'être courte pour lui. 
    [A] - Le repas vous convient ? 
    [T] - C'est très bon ! Votre employé est peut-être là pour que je puisse la remercier ? 
    [A] - Non, je lui ai laissé sa soirée, je voulais que nous soyons tranquille tout les deux. Puis elle ne fait que son travail, elle n'est pas payée pour se tourner les pouces.
    [T] - Ok...Vous avez un appartement superbe Madame. Très spacieux, lumineux, ça doit être agréable de vivre ici non ? Vous y êtes depuis longtemps ? 
    [A] - Oui, c'est un bijou, je ne regrette pas de l'avoir acheté, il y a environ 2 ans
    [T] - Ow, vous n'êtes pas en location ? 
    [A] - Bien sûr que non Tyler, j'ai réussis à faire des bénéfices rapidement et j'ai pu me l'offrir. Une femme comme moi ne mérite t'elle pas le meilleur Tyler ?
    [T] - Bien sûr, le magasin marche aussi bien depuis des années ? Vous avez dû vendre une énorme quantité de sacs à main pour avoir assez d'économie ?
    [A] - Il est vrai que je ne suis parti de rien, mes parents n'ont jamais eu d'argent, je suis partie très tôt de chez eux, l'entente n'était pas au beau fixe. J'ai préféré vivre de mes propres ailes. 
    [T] - Vous les revoyez régulièrement ? 
    [A] - Non ils sont mort, juste après mon départ ... C'est malheureux ... Leur maison a brûlé et ils n'ont pas réussi à sortir.
    [T] - Oh, je suis désolé.
    [A] - Ne le soyez pas, je ne les aimais pas, toujours en train de me reprocher des choses, alors c'est un mal pour un bien pour moi.

    Chapitre 29

    C'était la première fois que je reparlais de cet incident à quelqu'un. Mes parents m'avaient mené la vie dure pendant des années, je les remercie pour cela, c'est ce qui a fait de moi une femme forte à présent. Mais c'est bien la seule chose qu'ils ont faite pour moi. Ce soir-là, je voulais juste leur faire peur, leur montrer ma colère. Et le feu a pris bien plus vite que je ne le pensais, je me suis enfui les laissant se faire consumer par les flammes, je n'y avais jamais repensé jusqu'à maintenant. Cet homme me fait tourner la tête.

    [A] - Voulez vous prendre le dessert dans le salon ? Je vous ferais ensuite visiter tout mon antre. 
    [T] - J'ai déjà beaucoup manger. Je ne sais pas si le dessert passera.
    [A] - Allons. Je vais nous chercher des digestifs, ça vous fera du bien, vous allez voir. Allez-vous installer confortablement dans mon canapé, j'arrive de suite...

    Chapitre 29

    Il a trop mangé, je n'avais jamais entendu ça, il n'est pas au bout de ces surprises, j'espère que le digestif lui laissera un peu de place pour un deuxième dessert. Il n'aura pas vraiment le choix. J'ai déjà tout d'organiser dans ma tête. Le digestif dans le salon puis je lui ferais visiter l'étage et là, je lui sortirais mon petit bouton d'or délicatement humidifié, il ne pourra pas résister.

    Chapitre 29


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  • > Tyler

    Je ne sais pas si c'est le digestif ou les propos de Madame Adaline, qui m'ont complètement retourner l'estomac. Je la voyais me regarder avec de grands yeux brillants de désir. Ça faisait à peine trois heures que j'étais là, on avait déjà fini de manger, le digestif était pris et je sens bien qu'elle ne va pas vouloir retarder les choses bien plus longtemps. J'ai bien compris que si je voulais la prendre, là, sur le canapé, elle était cent-pour-cent ouverte. Le temps presse et je n'ai encore aucun indice qui pourrait répondre à mes questions. 
    [A] - Tyler tout va bien ? Je vous sens un peu ailleurs.
    [T] - Oui oui Madame, ne vous inquiètez pas, je pense que j'ai un peu trop mangé, je me sens un peu patraque.
    [A] - Le digestif ne tardera pas trop à faire son effet, cela devrait aller mieux dans une dixaine de minutes. Je vous fais visiter l'appartement ?
    [T] - Maintenant ? 
    [A] - De suite même, en plus vous avez du goût, j'aimerais refaire un peu la décoration, vous pourrez me dire votre avis ?

    Je me suis levé, à contre cœur, je ne veux pas qu'elle me trouve diffèrent. Ça pourrait la laisser suspicieuse et ce n'est pas du tout le moment, mais vraiment pas, elle m'avait montré ça grande cuisine, superbe et raffiné, elle doit en accueillir des gens chez elle avec un espace pareil. 
    [T] - Vous n'avez pas d'enfants Madame ? 
    [A] - Ah non, je déteste les marmots, les pleurs, les crient, les couches... Une vraie corvée... On ne peut plus rien faire quand ce genre de parasites trainent dans nos pattes ! Passons à l'étage Tyler.

    Elle a des idées bien arrêtées, elle en débite des conneries plus grosses que son penthouse. Je ne sais pas si c'est le fais d'avoir des doutes mais je peux plus m'la piffrer. C'est une femme odieuse.
    [A] - Comme vous pouvez le voir, les pièces que je n'utilise pas sont restées-t-elles quelle, je n'ai pour l'instant décoré que les pièces principales, ma chambre, je l'adore, c'est la plus belle pièce de la maison, elle n'est pas très grande, mais j'adore ma salle de bain, elle est tout confort. Je vais vous la montrer, venez.

    Plus on avançait, plus je voulais partir en courant, mais je suis sûr que tout est dans cette pièce, une chambre il n'y a pas plus intime pour cacher nos secrets ? Elle ouvrit la porte me faisant signe de passer.. Bein tiens, alors c'était maintenant ? Le moment où je ne peux pas faire machine arrière ? 
    [A] - Je reviens dans une minute Tyler, attendez-moi ici, profité de la vue.

    Chapitre 30

    Elle partit sur la pointe des pieds, roulant des fesses, me laissant seul dans sa chambre, c'est le moment ou jamais, j'ouvris les portes rapidement de sa commode, dans l'espoir de trouver quelque chose, rien, enfin, rien non, une multitude de chaines et de ficelle, qu'est-ce qu'elle peut bien faire avec ça ? Je n'ose l'imaginer. Refermant délicatement le tiroir pour ne pas me faire entendre, je me dirigeai vers un rideau dissimulant des étagères ...Non mais ma parole, elle est cinglée celle-là ! C'est rempli de sexe Toys ! Putain, c'est une malade du sexe ! Je suis grave dans la merde.

    Chapitre 30

    Cherche Tyler, euuuuh. Où est-ce qu'elle pourrait cacher quelque chose de compromettant ? Putain je suis con LE DRESSING ! J'entrouvris la porte de sa chambre afin de vérifier qu'elle n'était pas de retour.
    [T] - Madame ? 
    [A] - J'arrive dans cinq minutes Tyler, je me débarbouille un peu. Je voudrais être un peu plus fraîche.

    Plus fraîche ? Putain je suis finis c'est sur. J'ai pas le temps de réfléchir, cinq minutes, ça ne me laisse pas beaucoup de temps. Filant vers son dressing, je mis faufila discrètement, il y avait tellement de fringues, comment je vais faire ?

    Je n'ai pas fais des études pour rien, réfléchissons.. Regardant dans tous les coins du dressing, un coffre en bois attira mon attention, un si beau coffre caché des regards indiscrets ? Il ne peut que être suspect, on ne sait jamais, je souleva le couvercle et mon cœur s'arrêta presque, c'est tellement claire maintenant, c'est elle, je n'ai plus aucun doutes. J'dois me tirer d'ici viteuf !

    Chapitre 30


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  • > Madame Adaline

    J'avais enfilée ma plus belle robe de chambre, rien d'extraordinaire, mais c'est la plus simple a retirer. J'étais remonté avec deux petites coupes de champagne, histoire de se détendre avant de passer aux choses sérieuses. Je fus surprise de voir Tyler sortir précipitamment de ma chambre, ou comptait il aller comme ça ? 

    [A] - Ca ne va pas Tyler ?
    [T] - Je ne me sens pas vraiment pas bien.

    Ce soir, je ne lui laisserais pas le choix, il commence à m'agacer à faire le prude, il n'est pas payé pour ne rien faire. Je les poussé du bout du doigt afin de le faire reculer en direction de mon lit, ça suffit les enfantillages, c'est l'heure pour maman d'avoir sa gâterie, j'ai trop attendu pour qu'il me file entre les doigts en prétextant une soit disant maladie.

    Refermant la porte derrière moi pour ne plus qu'il s'échappe.
    [A] - Tenez buvez cela, ça va vous faire du bien.
    [T] - Je pense que j'ai vraiment assez bu pour ce soir Madame, je devrais rentrer chez moi, c'est sûrement plus prudent, je ne voudrais pas que vous tombiez malade aussi.

    Instantanément, je le retins fermement par le bras.
    [A] - Tyler votre contrat est clair.. Vous êtes venu ce soir, vous saviez très bien à quoi vous en tenir, alors maintenant au boulot. J'ai bien assez attendu !

    J'ai lentement retiré ma robe de nuit en soie, je me suis mise juste devant lui, pour lui retirer son pull, explosant les boutons de sa chemise avec le doigts, pour qu'elle finisse sa route sur le sol. Il était tout blanc, je ne voulais pas le traumatiser dès la première soirée, je vais prendre mon temps, ça lui permettra de se mettre en pression tout en douceur. J'ai fais mes plus belles positions pour l'exciter avant de me placer sur le ventre, remontant les fesses, pour lui offrir ma précieuse fleur. Il était temps pour lui de prendre son deuxième dessert. 

    Chapitre 31


    [A] - Au travail Tyler !
    [T] - ...
    [A] - Tyler, je ne plaisante vraiment pas !

    Il arrivait enfin, mon matelas c'est abaissé sous son poids, son corps d'étalon, sa main frôlait ma fesse, provoquant des frissons du bas de mes pieds, pour remonter le long de mon corps me faisant durcir les tétons, ca y est c'est le moment, je vais me laisser bercer par la douceur de sa langue caressant mes lèvres, hummmm...


    Un liquide chaud coulé le long de ma jambe, non pas déjà ! Me retournant stupéfaite.
    [A] - Pas déjà Tyler, vous êtes ...

     Mais ... MAIS C'EST QUOI CA ??????????????

    Chapitre 31


    [A] - TYLER !
    [T] - Je vous avais dit que je ne me sentais pas bien.
    [A] - MAIS NE RESTEZ PAS LA ! DESCENDEZ CHERCHER QUELQUE CHOSE POUR N'ETTOYER BON SANG !!!

    J'étais très loin d'imaginer que Tyler allait rendre tout son repas sur mon corps, mon précieux corps, je suis souillé.
    Personne, je ne dis bien personne n'a jamais osé me faire ça, je me sens complètement humilié. Je ne lui plais vraiment pas ? Au point de me vomir dessus ! Je ne suis pas assez bien pour lui ? C'est ça ? Tyler était sortie de la chambre, sûrement pour allé récupérer une serpillière, ou un truc du genre mais non, en entendant la sonnette de l'ascenseur, je compris, qu'il allé me laisser, là, sans explications. Il est hors de question qu'il prenne la fuite comme ça ? Après ça ? Ce n'est juste pas concevable, IL VIENT DE ME VOMIR DESSUS ! Allant récupérer une nouvelle robe de chambre dans mon dressing, quelque chose me sauta immédiatement aux yeux, le coffre a bougé, il est toujours sous mes habits, quelqu'un a donc fouiné .... Et la seul personne qui a pu faire ça n'est autre que Tyler... Putain, je ne me suis pas méfié une seule seconde. Il m'a eu l'enfoiré, il était juste la pour fouiller et n'avait absolument pas l'intention de me baiser.
    **Sale fils de pute**

    Courant précipitaient en bas, vérifiant de tout les côtés, le regard posé sur l'ascenseur, trop tard, il s'est envolé l'enfoiré. J'ai pris mon téléphone sur la table, composant le numéro du blond.

    Chapitre 31


    [A] - Le blond, je viens de t'envoyer un SMS avec une photo, est ce que c'est l'homme que tu as vu ? 
    [B] - Affirmatif madame.
    [A] - Tu es sûr ?
    [B] - A 100% 
    [A] - Je sais où ils se trouvent. 12 rue du Couscous, Bâtiment B, Appartement 5. IMMÉDIATEMENT.
    [B] - et l'homme ? 
    [A] - Ramenez-le.

    **Tu vas me le payer très cher Tyler.**


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  • > Tyler

    Putain, putain, j'ai dû rouler à plus de 120 kilomètres. C'est elle bon Dieu ! Et dire que les bruits que j'entendais derrière les murs n'étaient sûrement pas des rats, putain, je suis en train d'imaginer que j'ai bossé pendant des jours sans même m'apercevoir de quoi que ce soit.

    Chapitre 32

    Putain... Je fais quoi maintenant ? On doit partir, oui c'est ça...je ne vois pas d'autre option. Elle finira par comprendre, si ce n'est pas déjà fait, ça sera dans quelques jours quand elle rentrera dans son dressing, avec la peur, je n'ai pas pris le temps de remettre le coffre à sa place, elle est bien trop intelligente et organiser pour ne pas s'en rendre compte.

    Et elle sait tout de moi, où j'habite, mes préférences, c'est ce fucking questionnaire. Pourquoi je les remplis. J'aurais pu tout simplement dire "Madame, je trouve votre questionnaire un peu trop indiscret, je suis en droit de ne pas vous fournir de réponses". Mais non, j'ai prouvé encore une fois que j'étais bel et bien con !

    Je n'ai même pas pris la peine de trouver un emplacement adéquat, j'ai pas le temps, tant pis. Trépignant des pieds alors que je sais pertinemment que ça ne fera pas avancer l'ascenseur plus vite. Mon stress était à son summum, j'étais décidé, on part ce soir, je ne sais où, mais on n'a pas le choix.

    Rentrant en trombe dans l'appartement, Lily était installée sur le canapé dans le noir, je l'avais vu sursauté à mon entrée, elle a de suite compris.
    [T] - Prend la valise dans le coin de l'armoire, prends quelques fringues mon ordinateur, faut qu'on parte ! 
    [L] - Attends, qu'est-ce qu'il se passe ? 
    [T] - Je t'expliquerais dans la voiture, je préfère que l'on parte maintenant. Fais la valise s'il te plait, je vais me laver les mains et on s'en va ! 
    [L] - Pourquoi ? 
    [T] - Lily ! Plus tard, c'est trop dangereux de rester ici, vaut mieux prendre la route avant qu'il ne soit trop tard.

    Chapitre 32

    Elle s'exécuta, je n'ai jamais été aussi sérieux dans mes paroles. Elle va comprendre cette folle de sorcière et je préfère prendre le maximum de distance avant qu'il ne débarque ici.
    [L] - Tu ne veux prendre rien d'autre Tyler ? 
    [T] - Non... ne t'inquiète pas. C'est bon ?

    Je ne l'avais pas ménagé, je voyais déjà les larmes coulées sur sa joue, j'aurais pu être plus doux, mais le stresse me fait perdre toutes mes facultés à la politesse, je n'ai même pas pris le temps de regarder mon appartement, je suis lucide, je ne reviendrais jamais ici. Putain d'ascenseur qui met trois plombs. Lily sanglotait.
    [T] - Lily ne pleure pas, tout va bien se passer.

    La voiture était chargée, enfin avec le peu qu'on a pris ça ne pouvait qu'aller vite. Je rallumai la voiture, éclairant tout le quartier. Dommage... les gens y étaient accueillant, je ne savais pas où j'allai nous mettre en sécurité, j'étais complétement pommé, la seule chose que j'avais en tête actuellement c'était de mettre les voiles.

    Chapitre 32


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  • > Le blond

    Madame avait été très claire, on devait aller chercher ce fils de pute, chez lui, le sortir de son lit par la peau du cul. Mort ou vif. Encore une fois ça va être à nous de faire le sale boulot avec ces putains d'enfoirés qui n'écoutent rien.

    Heureusement, nous n'avons pas dû allé jusque-là avec les autres. Un bon coup de pression pour qu'ils arrêtent d'importuner Madame Adaline a suffit. Elle a du mal à se débarrasser des hommes avec qui elle finit au lit. Ils sont tous accrochés comme des sangsues mêmes quand elle n'en veut plus, alors on prend le relais, pour qu'ils comprennent rapidement que s'il ne la lâche pas, ils auront à faire a nous. Ca a marché pour tous, ou presque tous... Je me souviens il y a quelques mois, ça ne sait pas déroulé dans la douceur pour l'un d'entre eux. Il avait tout compris et nous avons fait le nécessaire avant qu'il n'aille ouvrir ca grande gueule devant la police. Si Madame Adaline n'arrive pas à le raisonner son nouvel esclave sexuel, nous serons obligés de le faire taire aussi. L'avantage d'avoir Gonzalo dans mon équipe, c'est qu'il a beaucoup de connaissance au Mexique, alors, on transfert les récalcitrant là-bas puis ... 
    ... Je me rappelle d'être devant une grande maison à l'écart de tout, entouré de sable... Juste du sable, je pensais qu'il serait enfermé pendant des années, affamé, assoiffé, mais non. Nous sommes arrivé sur place et un trou, en plein désert, était près pour lui, on la jeté dedans ligoté et bâillonner et ils ont versé des tonnes de sable par-dessus, ni vu ni connu... . 

    ... Simple et rapide... Pour nous.

    Chapitre 33

    Nous devons être très prudents, les rues sont désertes et une aussi grosse voiture pourrait être suspect, nous n'allons pas traîner. On les récupère de grès ou de force, on les balance dans la voiture et direction le bâtiment de secours. Ni plus ni moins. Tout doit être réglé comme du papier à musique.

    Chapitre 33

    L'oreille collée a la porte, je n'entendais absolument rien, pas un bruit, pas une voix. Gonzalo surveillait les autres entrée. J'ai toujours mon attirail pour ouvrir les portes discrètement, mais là, elle n'était pas verrouillée, gonzalo et Freudon sur mes pas, on prit possession de chaque pièce... Mais l'appartement était vide, personne dans le lit, des vêtements traîné sur le sol, aucun objet personnel. Je reconnaîtrais ce bordel parmi tant d'autre, ces petites enflures ont pris la fuite ....

    Chapitre 33


    [B] - Gonzalo prévient Madame Adaline, nous avons deux fuillards.
    [F] - Rien nul part les gars, le logement est vide. Mais j'ai trouvé ca dans la poubelle.

    Le t-shirt, elle était bien la alors. Nous avons dû les louper de peu. Fait chié ! Merde ! Nous sommes sérieusement dans la merde maintenant.

    [B] - On retourne à la voiture avant d'éveiller les soupçons ! 
    Gonzalo et moi nous nous sommes regardé, on sait très bien tout les deux ce qu'il va se passer maintenant. S'ils sont partis, nous n'avons aucun moyen de savoir où. Et l'homme au masque rouge ne va pas apprécier du tout.


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